Coeur Brisé avait passé une grande partie de sa bien triste matinée dans la bonne vielle tanière des guerriers chiens, et malgré leur nombre, qui est disons plutôt grand, elle s'était logée dans un coin très obscur de la tanière des guerriers; et il tombait du ciel de fines goutes de pluie. Il n'était pas d'un bleu, mais d'un sombre gris peu rassurant. Déjà très tôt depuis le coucher du soleil, et même bien avant, il pleuvait déjà bien malheuresement, et cette fois-ci la pluie était rapide et tranchante. Pas tranchante qui coupe, hein, c'est juste une phrase à double-sens. De peur qu'il commence bientôt à neiger avec la chute des températures qui deviennent glaciales à ce moment de l'année, elle était sortie chasser très tôt, profitant de la pluie qui cacherait sa présece, malgré qu'elle diminuerais bien son odorat. Même encore légèrement pataude de son lever rapide et de sa couche mauvaise, elle s'était vite enfuie dans la forêt d'à coté. Tuer, c'était son language. Sa seule façon de communiquer son malheur et sa tristesse envers tous ceux qui la laissent seule et rient ensembles, la regardant en même temps, comme pour la narguer de leur chance inimaginable qu'ils avaient. Elle ne parvenait pas à l'exprimer autrement, et même le doux parler ne la reconfonrtait pas, ne lui parlez certainement pas de grands dictons ou de philosophie, elle ne s'y fiera jamais, et vous évitera comme la peste. Elle leva son long museau et attendit. La pluie camoufflait légèrement les odeurs, et il lui était dificile de bien s'orienter. Elle sentit quand même une faible odeur d'animal dans le trou d'un arbre, et sentit plus précisément un gros lapin, ce qui était rare en cette saison. Elle adopta une potition de chasse assez maladroite malgré tout, et s'avança en rampant lentement vers l'animal.

Elle s'arreta cependant à quelques mètres de lui, assez de distances pour pouvoir bondir lorsqu'il la repererait, et surtout bondie dès que l'autorisation du lapin arriverait, enfin il n'en aurait pas l'autorisation mais la permition de la mort. Et la pauvre petite chose broutait de l'herbe arrosée par la rosée du matin. Elle n'était pas attendrie par ce spectacle très ravissant, même mignion si l'on peut dire. Bien au contraire, elle attendit que l'animal se détente et fasse bien resortir son petit cou. La petite chose finie par céder à la bonne herbe et se crut bien en sécurité là et mis bien en valeur son cou. Une si belle occasion ne se ratte quand même pas, et c'est à cet instant qu'elle bondit violemment sur l'animal, et planta ses crocs dans la chair de son petit cou, et l'animal, pris de rapidité par ces crocs tueurs et cet animal rapide, mourrut sur le champs, sans aucune chance de survie prévue. Et si il avait miraculesement survécu, elle l'aurait achevé sans hésiter. Mais une morsure au cou est fatale, surtout venant d'un canidé. Au moins, il n'avait pas beaucoup soufert, et surtout si il avait eu mal, ce serait de courte durée, mais c'était bien là le principal. Enlever une vie, aussi insignifiante soit-ellz pour nourir d'autres bouches, elle n'y voyait pas de problèmes du tout. Tuer servait bien à exprimer sa rage et sa haine envers les autres, mais jamais elle n'enleverait volonterement une vie, du moins pas sans raison. Pour protéger, pour nourir, pour sauver. Ce sont ces trois raisons qui font qu'elle chasse. Et qu'elle ôte des vies.

Elle chassa un merle par la suite et ramena tout ces gibiers au camps. Sa gueule était remplite d'autres petites proies sans importances, mais cela n'as pas beaucoup d'importance. Elle déposa toutes ses prises sur le tas de gibier, bien maigre pour la journée, et elle semblait être une des rares encore levée si tôt. Elel voyait une lueur violette derrière les nuages en levant la tête vers le ciel, c'était l'Aurore. Mais c'était commun en cette saison qu'il y eut si peu de gibier. Il se faisait rare, et elle avait eu de la chance. La chienne équissa un léger sourire, une idée lui vint tout de suite à l'esprit: elle avait chassé, elle avait remplit sa tâche de guerrière et personne n'avait besoin d'aide. Et pas question de demander a ces incapables anciens, elle l'aurait bien donner son aide fait volontier, mais elle ne voulait pas gâcher une si belle occasion de s'envoler ailleurs, vers d'autres lieux. Elle avait décider de partir très loin. Elle reviendrait bien sur, son attachement à son clan était trop puissant, elle ne pouvait pas l'abbandonner ainsi, se faire traîtresse était une idée inconcevbable, mais elle voulait juste courir plus loin. Et s'en aller vers un territoire neutre, peut-être même rencontrer des personnes d'autres clans. Ce serait fabuleux! Et elle joignit pensée à gestes. Elle courrut vers le lac glacé, ce point qu'ellee fixait depuis le début, inexistant, mais passionnant. Attirée par "ce point", elle s'était échouée là-bas, et elle se coucha près de l'eau, à observer son reflet.

HRP:Sorry pour l'attente, j'ai miamé entre temps!