La Guerre des Clans 74
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<< L'être est celui qui vit, mais qui est celui qui ne vis plus sur la Terre ? >>

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Invité
Invité
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MessageSujet: << L'être est celui qui vit, mais qui est celui qui ne vis plus sur la Terre ? >> << L'être est celui qui vit, mais qui est celui qui ne vis plus sur la Terre ? >> Icon_minitimeMer 19 Mar - 20:08

<< L'être est celui qui vit, mais qui est celui qui ne vit plus sur la Terre ?>>


    Dans la vie, il faut toujours allez de l'avant. Pas dans le but de gagner, mais dans le but de survivre. De ne pas s'enfoncer encore plus dans le sable mouvant. Parce que t'auras beau t'arrêter, lui continuera de t'ensevelir. C'est comme le sablier. Tout le monde pourra s’immobiliser, il continuera de couler. C'est comme tout. Quand on brise une promesse, on ne peut plus en recoller les morceaux. Parce que le temps passe, et s'écoule vite. Beaucoup trop vite. Et quand tout le sablier s'est retourné, il est trop tard. Trop tard pour reculer, pour faire marche arrière. Mais pas qu'avec le temps. Il y a aussi les erreurs du passé. Qui renaissent dans le présent, en se répétant, sans que le chat qui la déclenche ne s'en rende compte. Et ça, c'est une grosse douleur dans le cœur de la victime. C'est une pierre sur son chemin, une chose qui l'empêche d'accéder à une autre. Que ce soit pour conquérir un cœur, obtenir un pouvoir absolu, ou se venger. Parce que la vengeance c'est mal. Mais ce qui est encore plus cruel, c'est souffrir. Souffrir pour soit, c'est blesser la personne à cause de qui on souffre, surtout si elle est morte. Qu'importe qui ce soit. Quand on pleure, dans les milliards d’étoiles scintillantes, certaines se font poignarder par notre douleur. Leur cœur se déchire, pendant que le nôtre tente de refermé la plaie qui s'est ouverte.
  C'est pour ça que lorsque que l'on se rend compte qu'on a fait quelque chose de mal, on ne la refait plus. Il n'y a que les idiots que se font avoir deux fois. La terre n'a pas besoin de ceux-là. C'est pour ça que lorsque on prend un idiot, soit on le tue, soit on l'ignore. Parce qu'ils n'en valent pas la peine. Mieux vaut se fatiguer à chercher le bonheur que traîner avec ce genre de félin. Et encore. Trouver le bonheur c'est une autre histoire. Parce que tu pourras faire le tour de la terre, temps que tu n'y crois pas assez tu ne le trouveras jamais. Pour obtenir quelque chose, il faut le vouloir, au plus profond de son âme, il faut se battre pour l'obtenir. Mais, si dans ta vie, tu te poses cette question : "Suis-je capable de faire ça ?"... Il faut trouver la réponse. Et une fois avoir atteint le but. Il faut savoir l'utiliser. Ce n'est pas donné au premier venu. Ensuite, il faut en avoir le courage. Oser rester seul. Parce que quand on cherche un but, il faut toujours le faire seul. Les autres ne peuvent pas comprendre. Ou peut-être ne veulent pas ? Quoi qu'il en soit, s'enfoncer dans la solitude pour vivre, c'est la clé. Se surpasser, franchir la limite du possible, pour réaliser l’impossible. Mais existe-il un autre moyen de chercher sa réponse, son but ? 
Eh bien oui. C’est l’amitié. Mais trouvé l’amitié c’est facile. C’est après que ça se complique. Il ne faut jamais prêter son cœur à un idiot. Jamais. L’idiot porte souvent bien son nom. Mais idiot dans quel sens ? Parce que l’imbécile en question peut se servir de ce cœur pour arriver à son bien. Alors jamais, compris, jamais, ne passe sur ce chemin. Il est là, et à tout moment il t’attaque. Il te surveille, comme le rapace surveillerait sa proie. Parce que sa proie, c’est toi. Le barrage qui te bloque ne se détruit pas, il se renforce au fil des années. Alors fonce tant qu’il est fragile. Ne loupe jamais cette occasion. Il ne faut jamais dire jamais. A ce qu’il paraît. Jamais, on ne l’emploie uniquement quand il est utile ; quand on est obligé de le placer.  Et là, pour être franche, il a son utilité. Aussi, jamais est souvent un nom reflétant l’égoïsme. Parce que jamais, on l’emploie aussi pour dire des phrases du genre «  Nan, j’t’e prêteras jamais ci, ça, c’est  à moi... » Ou « J’garde ce secret pour moi, ça te regarde pas » C’est de l’égoïsme, ça. L’égoïsme, c’est aussi le fait de refuser l’amour, ou l’amitié. C’est tout naturel de devoir le faire. Mais vouloir le faire c’est autre chose.  Alors, lorsque tu doutes, confies-toi aux étoiles. Elles t’écoutent, silencieusement. Et te répondent rapidement. Ça soulage, et ça apprend. Apprendre.  Ça aussi c’est une autre histoire.

Le savoir passe toujours par un apprentissage. Apprentissage de la vie. Pour pouvoir avancer, commencer, créer, réaliser. Et grandir. Grandir en sagesse. Plus qu’en taille ou en âge. Mais il faut aussi gagner en intelligence. Parce que lorsque qu’on est au bord du gouffre, et qu’on n’a pas d’intelligence en nous –de la vraie intelligence- on finit comme tous ceux avant nous, on tombe dedans, sans savoir pourquoi. Et puis après, il se referme. Après ça, il n’y a plus rien à faire. On est perdu. A jamais. C’est presque comme une blessure. Quand elle se referme, on ne peut plus rien y faire. Il y a une cicatrice, point. La seule différence, c’est que la plaie peut se rouvrir. Et c’est encore plus pire, toujours et plus encore.  La vie a toujours était rude. Les épreuves étaient dures à surmonter. Mais, d’autres barrières nous attendent derrière tous ces efforts consacrés à rester en vie.  Alors, tant que tu en peux encore, cours. DE toute tes forces. Et combat ce qui ‘empêche d’atteindre ton but. Toujours. Toujours à se lamenter sur le passé, sur des choses qui se sont déroulées, qui ne sont plus d’aujourd’hui, et qui ne le seront encore moins demain.
Vivre, c'est comme connaître la mort avant de la rencontrer. Parce que c'est accepter le fait de mourir un jour. Alors pourquoi s'accrocher à la vie quand on sait qu'un beau jour, le passé ne sera plus qu'un regret, et qu'on le regardera avec nos yeux, sans pouvoir retraverser le temps. Mais même les vivants. Ils veulent revenir, aux côtés de leurs camarades, disparus de l'autre côté de l'océan que représente la vie. Aile d'Or n'avait jamais compris. Elle ne saisit qu'une seule chose : que la vengeance ne soulage rien. La mort n'apporte qu'aucune satisfaction ou que peu de temps. Et qu'un beau jour, les morts reviendront se venger à leur tour de ceux qui les ont fait souffrir. Mais pas toujours. Ils apparaissent parfois pour des raisons inconnus devant des innocents, ou des ignorants.
C'est pour ça que lorsqu'Aile d'Or veut se détendre, et penser à autre chose. Tourner la page, et oublier. Elle va se réfugier près d'une cascade. La beauté de l'eau l’émerveillera toujours; Les arbres immenses et leurs branches cachées par les belles feuilles vertes. Peu de monde se promenait ici. La belle chatte dorée était donc seule. Et ça la soulageait. Lors de ces moments, elle se rassurer en disant qu'elle n'avait fait que venger son père, en tuant Pluie de Cendre. Et qu'à ce moment, là où elle était penchée sur le corps sans vie, qu'elle avait compris qu'il était peut-être innocent. 
Ce jour là, il faisait beau. Elle allait à la cascade, parce que son père lui avait parlé. Encore. Dans ses rêves. Il voulait qu'elle devienne lieutenante. Et il lui avait apprit de nouvelle techniques de combats. Mais elle n'avait toujours pas d'apprenti. Tandis qu'elle scrutait la surface de l'eau, un reflet étrange l'intrigua. Un reflet blanc, presque transparent, et très étrange. Au début, Aile d'Or ne crut qu'à son imagination, mais lorsqu'elle se retourna, une silhouette blanche pâle était en face d'elle. Elle tenta de toucher sa fourrure de loup, mais elle n'osa que s'approcher d'un pas hésitant. Un vent soudain se leva, la laissant seule face à ce personnage mystérieux. Prenant son courage à deux pattes, elle reprit son souffle et murmura quelques mots : 

- Qui es-tu. Ta silhouette est pâle, tu es blanc. Quelle créature es-tu ?

Puis elle se tut, en essayant de comprendre. Enfin, une idée lui frappa l'esprit. Une idée effrayant, stupéfiante et surnaturelle. Mais elle était trop curieuse pour en avoir peur.

- Un... fantôme ? Que fais-tu ici ?

Elle sortit ses griffes, les muscles bandées, prête à fuir au nécessaire.

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Croquemitaine Traumatique
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Croquemitaine Traumatique
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MessageSujet: Re: << L'être est celui qui vit, mais qui est celui qui ne vis plus sur la Terre ? >> << L'être est celui qui vit, mais qui est celui qui ne vis plus sur la Terre ? >> Icon_minitimeMer 2 Avr - 19:10


~ Désincarnation Anarchique
Ma possession, mon jouet.