Se matin, aucun rêve. Aucun bruit. Tout semblait dormir. Je me réveille. L'aube ne pointé pas encore et la Toison Argenté brillait de mille feux. J'avais besoin de faire un tour. Je sortit a pas menu pour éviter de réveiller tout le monde. J'avais besoin de m'évadais. Une fois sortit du camp, je commença a cavalais, le vent dans la fourrure. Je ne sais pas où j'allais ni où j'étais pour l'instant. Je m’arrêta devant un bois avec de jolis fleurs rouge. Des coquelicots ? Je ne sais pas, mais c'est très jolis. Mes pattes sont fatigué d'avoir courut pendant un bon bout de temps. Je m'avança, au petit pas. Je renifla. Qu'elle douce senteur. Tout était beau. Comme je commençais a avoir faim, je chassas. Attrapent une proie. Je l’enterra pour pouvoir l prendre tout a l'heure. Je perdu la notion du temps. Plongent mon museau dans les fleurs. J'en croqua même une a un moment. Je suis émerveiller. Je ne suis jamais allais dans cette partit des territoires libres. Levant mon museau d'une fleur, avec des coccinelle sur mon museau, je remarqua une forme flou. Une forme de chien. Je m'approcha, la silhouette partit. Des bruits de pas se fit entendre derrière mon dos. Je grogna et me retourna. Me retrouvant face a face avec un grand chien noir. Je montra les crocs. Si il est venu m'attaquais, je me défendrais comme une guerrière !

Cette nuit, je n'arrivais pas à dormir. J'avais l'impression que la Toison Argenté observait chaque mouvement que j'effectuais, la moindre bouffée d'air que respirais. Je me levai, et soupirai un bon coup. Je marchais, droit devant moi. Où j'allais ? A la forêt de Rubis, bien sûr ! C'est mon endroit préféré, le seul endroit où je peux me détendre, sans que personne vienne vous déranger. Arrivée là-bas, je m'allongea par terre, et commença ma méditation. Deux ou trois minutes plus tard,je vis une forme qui s'approchait au loin. Je me leva donc, et partis me cacher derrière elle. C'était une toute petite louve. D'un coup, en la faisant sursauter, je lui dit :

-Que fait-tu là, toute seule ?

Je lui montra les dents. Elle avait l'odeur de la peur, mais ne la laissait pas se montrer. Je la trouvais bien courageuse. Elle savait très bien que, si je voulais, je pourrais vraiment lui faire mal. D'un ton plutôt agressif, je lui dit :

- Allez, réponds !

- Allez, réponds !

Il me le dit sous un ton agressif.
Je le regarda droit dans les yeux.

- Je pourrais te retourner la question .....

Le temps n'est pas a se parlé a rebrousse-poil.
Et je crois bien que je suis perdu......
Je ne connais pas cet endroit.
Je regarda de droite a gauche. L'autre en face de moi me regarde toujours.
Je me retourna vers lui et pencha ma tête, comme a mon habitude, vers la droite.

- Tu est qui en faite ?

Et je m'assis mes pattes arrières replier et mes pattes avants bien droite.