Des petits cris extirpèrent Pelage de Foudre de son sommeil qui était si profond cette nuit la. Il ouvrit doucement les yeux, l'un après l'autre éblouis par le soleil qui était déja haut. Il compris qu'il n'avait que trop dormis. Il baillat alors à s'en décrocher la machoire et commença sa gymnastique matinale habituelle qu'était ses étirements. Après s'être octroyer une breve toilette il sortit enfin de la taniere des guerri3rs.Il remarqua quelques apprentis entrain de jouer ensemble, c'étaient surement eux qui l'avait réveilléquelques minutes plus tôt. Les anciens laissaient leur fourrure se réchauffer à la douce chaleur du soleil attendant que les apprentis leur apporte une pièce de gibier.
Pelage de Foudre se dirigea vers le tas de gibier saluant quelques guerriers avant d'entamer un merle chassé récamment. La chair de l'oiseau était tendre, si bien que le léopard se sentit coupable de ne pas l'avoir laisser aux anciens et aux reines. Il finis son buffet en quelques bouchées avant de se promener à pas lents dans le camp. Il se sentait vraiment inutile aujourd'hui. Il parcouru l'ensemble du camp d'un regard, cherchant la moindre tâche à acccomplir.
Le camp s'agitait doucement, petit à petit chaqun effectuait sa tâche assignée dans le bonne humeur, tous étaient joyeux et prospèrent. Pelage de Foudre jeta un coup d'oeuil à leur meneuse qui se trouvait sur le promontoire, sa fourure blanche tachetée, semblable à celle du mâle éclatait de mille feux sous les rayons du soleil. Son regard se posa sur l'antre de leur guerisseuse dont le rideau de ronce dissimulait l'entrée, il yermina sa course visuelle sur le tas de gibier, celui- était étonnament maigre, le léopard eu soudain une idée.
Il se mit à parcourir le camp en quêtre de trouver un ou plusieurs léopards qui seraient susceptible de vouloir l'accompagner chasser..