Le matin. Le soleil viens a peine de se lever. Mon ventre commence a gronder, je n'ai pas manger depuis la veille. Je baille, je m'étire et je fait ma toilette, c'est mon petit rituel du matin. Tout en regardant les arbres de la forêt, je me demande. Je me demande quel animal je vais rencontrer. Peut être un renard ou un loup de clan, ou encore un chien.  J'ai aussi entendu dire que des panthère vivait dans ces bois, j'aimerais en rencontrer une.
Je me leve sur mes quatre pattes et je me dirige vers la forêt de rubis, cherchant des proies. J'aime cet endroit, tout y était rouge et vert, et ca sentait très bon. Je hume l'air, une odeur de campagnol parvient a mes narines. Je m'accroupis a terre et je rampe. J'examine les lieux. L'animal est la, posé sur un tapis de feuille. Je vérifie la position du vent, me prépare, et saute. Je l'attrape. Je n'attendit pas et je n'en fis qu'une bouchée.
Après quelques minutes et une longue course, j'attrape un lapin. Son odeurest forte, tellement que je ne sent pas ce qui viens. Je lève l'oreille. J'entends de lourds pas derrière moi. Je fais volte-face et je leve les yeux. Devant moi se trouve un immense blaireau, blanc comme neige et noir de jais. Je grogne, il n'a pas l'air d'avoir peur. Il leve la patte menacant, j'essaie d'esquiver mais je la reçoit de plein fouet! Je glisse sur le tapis de feuille, du sang coule de mon oreille droite, griffée profondément. Le blaireau avance vers moi, la peur de se lire dans mes yeux, mais moi je ne vois que de la furreur dans les siens. Je le vois se tasser et je ne comprend son intention qu'au dernier  moment. Il me saute dessus et me prend dans ses mâchoires, au niveau du dos. Il me secoue, je hurle de douleur. Il me lance, puis viens me reprendre, par la peau du coup, cette fois-ci. J'ai mal, je me vide de mon sang. Bientôt, je ne sens plus rien. Je me rappelle de mon compagnon mort dans ces même circonstance, entre les pattes d'un blaireau qui défend son territoire. Lui, il n'avait eu aucune change, alors, moi, qui ne sais pas me battre, j'en ai encore moins.
Je me laisse donc mourir, cette perspective me permet de ne pas penser a la douleur qui était revenue. Je ferme les yeux puis, plus rien.

Lorsque je les rouvre, je suis dans la foret de rubis. Je me vois, enfin, je vois mon corps dans la gueule du blaireau. Il ne bouge plus. L'animal bicolore lâche mon corps il n'aime pas s'amuser avec des animaux qui ne se défendent pas. Il s'en va, laissant par terre mon cadavre couvert et gisant dans le sang. Je le sait je suis morte, mais ce n'est pas si terrible. Je sens derrière moi une odeur familière. Je me retourne, et je le vois, mon compagnon, ce beau male roux feu. Je court vers lui. Je vais le rejoindre et nous vivrons heureux a deux. Je lui saute dessus, tout en hurlant son nom, puis nous partons vers des cieux lointains.

[Voila mon RP de mort pour que je puisse créé un nouveau perso']